C'est ici que vous retrouverez toutes les récompenses accumulées par les élèves et les équipes de Quodpot depuis l'ouverture de l'école, au XVIIème siècle. Un des lieux de punition favori du concierge, elle offre un panel varié de trophées et de médailles à astiquer et faire briller. Et sans magie, s'il vous plait !

Personne ne sait vraiment pourquoi elles ont été abandonnées mais depuis quelques années, les élèves et le corps professoral évitent d'y mettre les pieds. On y entend d'étranges bruits, des odeurs bizarres s'y font sentir et même les fantômes n'osent pas y aller... Un conseil d'ami, ne cherchez pas à jouer les braves et à y pénétrer, vous pourriez y laisser un morceau - ou même la vie.

C'est ici que logent les chouettes et hiboux postaux de l'école et des élèves. Si vous avez une lettre à envoyer, n'hésitez pas à gravir les 127 marches qui mènent au sommet de la tour - parce que oui, nous les avons comptées - mais surtout, faites attention : le sol en pierre a été rendu glissant par les fientes qui le recouvrent... Il serait dommage que vous vous rompiez la nuque pour une commande de farces et attrapes.

Depuis le grand balcon, un ajout assez récent à l'architecture de l'école, vous aurez une vue imprenable sur le Mont Greylock et ses environs. C'est un endroit privilégié des élèves, où ils aiment se détendre et profiter de l'air vivifiant des hauteurs. Il est toutefois interdit de s'en servir comme plateforme de décollage et quiconque sera surpris sur un balai sera envoyé en retenue !

Plus haute tour de l'école, c'est ici qu'ont lieu les leçons d'astronomie. En-dehors des heures de cours, elle est strictement interdite aux élèves : déjà parce qu'il s'agit d'une salle de classe (honnêtement, qui voudrait revenir en classe la nuit ? Ou même le jour d'ailleurs ?) et ensuite parce que les vents qui y soufflent risqueraient de vous emporter en bas - autant dire que la chute ne serait pas très agréable.

Ce sont eux qui font le lien entre les différentes tours, pour que vous n'ayez pas à tout redescendre et tout remonter chaque fois que vous voulez changer d'endroit. Pratique, n'est-ce pas ? Attention car ils sont un peu dangereux, particulièrement les jours de grand vent : les secousses pourraient vous faire chuter et je ne suis pas vraiment sûre qu'on vous récupérerait entier à la fin... Mais il faut bien se déplacer, pas vrai ? C'est sûrement ce qu'on dû se dire les architectes quand ils ont conçu ces passerelles aériennes. Ici encore les balais sont interdits, sauf s'ils sont portés à la main.